Ce palmarès classe les établissements délivrant un diplôme de grade master au travers d’une quinzaine de critères dont l’attractivité, l’international, l’insertion et les salaires, et social et mixité.
L’analyse des journalistes du Parisien distingue tout particulièrement ces 4 critères qui sont le reflet de la stratégie de notre école : devenir l’école du bien-être pédagogique, renforcer l’employabilité de nos apprenants, maximiser notre impact sociétal sur nos territoires. Pour atteindre ses objectifs, TBS Education s’appuie sur des campus d’un tout nouveau genre, une faculté experte et reconnue, de nouveaux modèles de formation et d’employabilité ainsi qu’une présence à l’international renforcée.
Afin d’apporter la meilleure expérience d’enseignement à ses apprenants, TBS Education poursuit sa transformation en prenant le statut de société à mission, forte de plus de 15 ans d’intégration réussie des critères environnementaux, sociétaux et sociaux dans son modèle d’école et dans ses programmes de recherche et de formation. Le statut de société à mission vient impulser une nouvelle dynamique et accélérer les transitions de TBS Education, à travers une stratégie construite autour de 4 piliers centraux : des campus d’un nouveau genre et le bien être pédagogique, une faculté experte et reconnue, de nouveaux modèles de formation et d’employabilité et un fort développement international.
Quinze critères sont retenus pour classer les écoles délivrant le grade de Master. La rédaction du Parisien/Aujourd’hui en France réalise ce palmarès par suite d’un questionnaire envoyé aux écoles. Voici les éléments retenus pour le calcul de chaque note.
Prestige : durée du grade master (1 à 5 ans). Nombres d’accréditations nationales et internationalesPuissance : budget du groupe. Budget de l’école par étudiant. Pourcentage d’élèves étrangers qui paient leur scolarité.Développement : évolution du nombre d’étudiants, des budgets groupes, des budgets Programmes grande école et des effectifs groupe entre 2021 et 2024. Évolution des candidats entre 2023 et 2024. Social : part des exonérations calculées, des bourses attribuées rapportées au coût de la formation.Infrastructure. Taille du campus par étudiant et son évolution entre 2021 et 2024. Proportion de diplômés passés sur les campus à l’étranger de l’école. Attractivité : 1/Pour les écoles sur prépas : classement Sigem (système d’affectation des élèves de prépas dans les grandes écoles de commerce). Volume de prépas intégrés et d’AST 2 (admission sur titre en 2e année de grande école) intégrés. Part des présents aux oraux sur nombre d’admissibles. Candidats prépa concours 2024. 2/Pour les post-bac : volume d’intégrés et des AST 2 (concours 2023). Candidats concours 2024.Corps professoral : proportion des professeurs chercheurs sur le nombre de permanents. Part des professeurs étrangers. Taux d’encadrement. Nombre de nationalités différentes parmi le corps enseignant.Pédagogie : pourcentage d’heures de cours donnés par des professeurs chercheurs. Proportion de doubles diplômés avec des institutions françaises. Professionnalisation : temps minimum obligatoire en stage. Proportion d’apprentis et d’alternants. Nombre d’intervenants professionnels sur une année par élève. International : proportion d’étudiants partis en séjour d’étude. Part des accords accrédités sur le nombre d’accords total. Nombre de doubles diplômes proposés. Proportion d’élèves partis en double diplôme à l’étranger. Nombre de pays proposés en expatriation. Recherche : proportion d’articles publiés par les enseignants.Salaire : taux de placement des étudiants avant l’obtention du diplôme, salaire à la sortie.Entrepreneuriat : nombre d’entreprises incubées entre 2021 et 2024 ou créées par des diplômés depuis 3 ans. Part des diplômés issus d’une filière entrepreneuriale.Stratégie digitale : dynamisme de la politique numérique. Nombre de fans Facebook et de followers sur X, abonnés sur Instagram et LinkedIn. Part des diplômés issus d’une filière numérique. Innovation pédagogique : le dernier critère a été noté selon l’avis de la rédaction du « Parisien Étudiant » sur la qualité du travail des écoles dans le domaine des projets pédagogiques et de développement